La machine à explorer le temps

Publié le par Lael

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Réalisé par Simon Wells, Gore Verbinski
Avec Guy Pearce, Samantha Mumba, Jeremy Irons  

Aventure, Science fiction
Durée : 01h35min 

 

A Londres, fin XIXéme siècle, un brillant savant est victime d’un grand drame. Se refusant à accepter que cela ai pu arriver, il construit une machine pour remonter le temps et faire en sorte que cela n’arrive pas. C’est le début d’un incroyable voyage à la fin des temps.

 

Le réalisateur, Simon Wells, n'est autre que l'arrière petit-fils de H. G. Wells. Il nous livre une adaptation du roman de son illustre ancêtre plutôt réussie, bien que réduite à un film « grand spectacle ».

 

J’ai le sentiment que le film comble les quelques lacunes du livre, l’actualisant au passage (du moins il me semble, le livre original est encore dans ma PAL mais je ne devrais point tarder à le lire pour comparer) : le fait qu’il donne une justification à ce voyage ;  l’avenir montré à l’aube de la fin de l’humanité ; et bien sûr le ‘trip’ de l’hologramme de la bibliothèque qui nous parles du livre écris par H G Wells !

 

Visiblement il reste, à part ça, très fidèle au livre, avec le passage du temps, Londres fin XIXème, et toute l’histoire développé dans ce futur tellement lointain qu’il en est inconcevable ( l’an 802 701 !).

 

Reste que c’est un film qui se veut à spectacle, beau visuellement avec de chouettes effets spéciaux, notamment pour le passage des saisons en accéléré (bien que les créatures monstrueuses reste un poil en dessous de ce qui se fait, même en 2002) mais forcément un peu léger côté scenario, et on tombe vite dans le cliché de la belle inconnue qui le sauve, puis que le héros cherche à sauver des méchants-pas-beau. Et  le complexe de florence Nigthingale, comme dirait ce cher Doc (le héros se fait soigner par une belle jeune femme qui en tombe amoureux). Ne parlons pas de la fin, ratée, à faire hérisser les poils de tout les trekkies vénérant la Première Directive.

 

Mais j’ai bien aimé les créatures ‘nouvelle génération’ qui peuplent la Terre, les géants bestiaux n’entrant dans aucune catégorie connue. Les habitations des ‘gentils’ (ne parlons pas par contre du monde souterrain, on peut difficilement faire plus cliché). Et l’hologramme de la bibliothèque, très fun.

 

Et au final, c’est un film qui passe bien le temps.

Rien de terrible donc, mais du spectacle assez correct. 3/5

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T
<br /> si seulement! ^^<br /> <br /> <br />
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T
<br /> tiens, ça pourrait m'intéresser, ça. quand j'aurais le temps...<br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> en même temps, si t'emprunte la machine, ça peut t'en donner, du temps <br /> <br /> <br /> <br />